Les salariés du journal Le Quotidien de Chicoutimi ratifient une nouvelle convention
2011-05-30
17:55:10Nouvelle
Les travailleurs de la production du journal Le Quotidien / Le Progrès-Dimanche de Chicoutimi, affiliés à la Section locale 145 du Syndicat canadien des communications, de l’énergie et du papier (SCEP-FTQ) ont accepté aujourd’hui l’offre finale et globale présentée par l’employeur le 19 mai dernier.
L’offre patronale prévoyait notamment des modifications au régime de retraite et aux horaires de travail ainsi qu’un gel salarial de trois ans suivi d’augmentations de 4% réparties sur deux ans.
« Nous sommes déçus de l’attitude patronale. Jamais l’employeur n’a voulu négocier. Depuis un an et demi notre comité de négociation s’est buté à un mur » affirmait Laurent Lévesque, représentant national du SCEP, ajoutant du même souffle qu’il espérait que cette négociation difficile ne soit pas trop néfaste aux relations de travail.
Le SCEP-FTQ représente près de 40 000 travailleurs et travailleuses et est aussi affilié à la plus grande centrale syndicale québécoise, la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec.
Les travailleurs de la production du journal Le Quotidien / Le Progrès-Dimanche de Chicoutimi, affiliés à la Section locale 145 du Syndicat canadien des communications, de l’énergie et du papier (SCEP-FTQ) ont accepté aujourd’hui l’offre finale et globale présentée par l’employeur le 19 mai dernier.
L’offre patronale prévoyait notamment des modifications au régime de retraite et aux horaires de travail ainsi qu’un gel salarial de trois ans suivi d’augmentations de 4% réparties sur deux ans.
« Nous sommes déçus de l’attitude patronale. Jamais l’employeur n’a voulu négocier. Depuis un an et demi notre comité de négociation s’est buté à un mur » affirmait Laurent Lévesque, représentant national du SCEP, ajoutant du même souffle qu’il espérait que cette négociation difficile ne soit pas trop néfaste aux relations de travail.
Le SCEP-FTQ représente près de 40 000 travailleurs et travailleuses et est aussi affilié à la plus grande centrale syndicale québécoise, la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec.