Journal de Québec – Un autre conflit signé Quebecor
2007-11-28
14:28:54Nouvelle
Ovation debout, tonnerre d’applaudissements et cris d’encouragement ont accueilli les lockoutés du Journal de Québec, hier.
Soulignant le courage de ses 250 collègues victimes de l’intransigeance de Quebecor, Denis Bolduc, porte-parole des trois sections locales en conflit, a demandé l’aide de toute la FTQ. «On a besoin de votre appui financier récurrent car, après sept mois, on n’a pas envie de subir la pression financière de Quebecor, pas plus que d’aller négocier à genoux.»
Le président de la FTQ, Henri Massé a établit un parallèle avec le conflit de Videotron. «Quebecor avait vendu les techniciens. Aujourd’hui, Péladeau vend ses produits avec l’image des techniciens et il fait de l’argent comme de l’eau. C’est nous qui l’avons empêché de commettre une erreur monumentale. Cette lutte risque d’être longue et nous devons montrer à Quebecor que ces gens aurons les ressources pour y faire face.»
Le conflit au Journal de Québec dure depuis plus de sept mois. Aucun syndicat n’avait de mandat de grève avant le déclenchement du lock-out.
Suite au passage des travailleurs et travailleuses lockoutés, une collecte a été faite à l’intérieur de la salle de congrès. Un somme de plus de 11 500 $ a été amassée et ce montant a été doublé par la FTQ pour atteindre plus de 23 000 $.
Source: FTQ
Ovation debout, tonnerre d’applaudissements et cris d’encouragement ont accueilli les lockoutés du Journal de Québec, hier.
Soulignant le courage de ses 250 collègues victimes de l’intransigeance de Quebecor, Denis Bolduc, porte-parole des trois sections locales en conflit, a demandé l’aide de toute la FTQ. «On a besoin de votre appui financier récurrent car, après sept mois, on n’a pas envie de subir la pression financière de Quebecor, pas plus que d’aller négocier à genoux.»
Le président de la FTQ, Henri Massé a établit un parallèle avec le conflit de Videotron. «Quebecor avait vendu les techniciens. Aujourd’hui, Péladeau vend ses produits avec l’image des techniciens et il fait de l’argent comme de l’eau. C’est nous qui l’avons empêché de commettre une erreur monumentale. Cette lutte risque d’être longue et nous devons montrer à Quebecor que ces gens aurons les ressources pour y faire face.»
Le conflit au Journal de Québec dure depuis plus de sept mois. Aucun syndicat n’avait de mandat de grève avant le déclenchement du lock-out.
Suite au passage des travailleurs et travailleuses lockoutés, une collecte a été faite à l’intérieur de la salle de congrès. Un somme de plus de 11 500 $ a été amassée et ce montant a été doublé par la FTQ pour atteindre plus de 23 000 $.
Source: FTQ